mercredi 28 janvier 2015

Réflexion critique sur le rapport à la culture

Conception initiale
Suite à la lecture du texte En amont d’une approche culturelle de l’enseignement : le rapport à la culture de Simard, Falardeau, Émery-Bruneau et Côté de 2007, je trouve que le type scolaire ressort beaucoup de ma conception initiale. En effet, ma description portait sur les connaissances que l’on apprend à l’école et qui sont transmises par l’enseignant, sur les connaissances acquises en se renseignant ainsi que sur les connaissances acquises dans notre milieu de vie. De plus, les termes connaissances et savoirs ressortent beaucoup ce qui est une principale caractéristiques du type scolaire (Simard, Falardeau, Émery-Bruneau et Côté p.293).

Aujourd’hui, je comprends que tous les individus ont une culture première et une culture seconde. Selon Gauthier 2001, la culture première qui correspond à l’héritage social de l’individu ce qui correspond selon moi à la branche nos origines dans ma conception initiale. La culture seconde, elle, regroupe les connaissances et les savoirs. En tant que passeur culturel, l’enseignant doit partir de la culture première des élèves et, à l’aide de nouvelles connaissances, mises en situation ou de l’actualité, développer leur culture seconde (Gautier 2001, p.2). Un de mes défis sera de bien cerner la culture première des élèves selon le milieu d’où ils proviennent pour ensuite développer une culture seconde significative pour eux.  Pour ce faire, je peux communiquer avec les élèves, être à leur écoute, me renseigner sur internet sur les tendances, passer un questionnaire, etc.

L’école ne donne pas juste des connaissances. On peut voir que j’avais une vision simpliste du rôle de l’enseignant : celui-ci transmet ses connaissances dans le but de faire apprendre l’élève. Toutefois, j’étais consciente que l’enseignant peut parler d’actualité, des découvertes qui ont été faites dans le domaine et de l’histoire. Le document officiel du MELS, l’intégration de la dimension culturelle à l’école, stipule que « […] les apprentissages réalisés par l’élève comportent des ancrages culturels qui lui permettent d’élargir sa vision du monde, de structurer son identité et de développer son pouvoir d’action. » (MELS, 2003, p.2) De ce fait, l’enseignant doit parmi les connaissances et notions qu’il véhicule faire des liens avec l’actualité, les découvertes et l’histoire pour que l’élève puisse développer sa vision du monde.

Comme enseignante en mathématiques, j’aimerais répondre à la fameuse question que bien des adolescents se posent envers les notions abordées en classe : à quoi ça va nous servir? J’aimerais bien leur montrer dans quels domaines ça peut s’appliquer et ainsi leur faire découvrir de nouvelles professions et élargir leurs connaissances générales. Cela peut se faire par des exercices s’appliquant dans la vie courante, par des recherches, par de la lecture… Un de mes défis pour les prochains mois sera de faire des liens entre les mathématiques et la vie courante. Par cela, je crois que je suis du type instrumentaliste, car il est important pour moi de démontrer l’utilité des mathématiques dans la vie de tous les jours. (Simard, Falardeau, Émery-Bruneau et Côté, 2007)  

Au final, je vous joins ma conception de la culture améliorée. Celle-ci porte sur ma conception du rapport de la culture et de l’enseignement, et donc, comment apporter la culture en classe. Un autre de mes défis sera d’appliquer cette vision le plus possible pour permettre à mes élèves de développer leur culture.  

Conception améliorée

mardi 13 janvier 2015

Critique d'un roman

Voici ma critique sur le roman "La formule du professeur".
Ce vidéo a été réalisé à l'aide des logiciels Movie Maker, Prezi et Audacity. De beaux TICS à découvrir. Bon visionnement!